Une spécialité Serbe.

On peux deviner une petite moue vexée sur la figure de la fillette.
Je me suis jamais posée la question, je me suis toujours appelée comme ça.
Et toi, Jess, c'est un nom de fille...

Oncle Vel c'est juste parce que je l'aime bien.

Elle jette un oeil sur rapide sur les autres convives et se plonge dans son assiette, boudeuse.
Goutant le première patate, elle dit à voix basse à peine audible :
C'est bon...

Agacée, elle ne s'abaisse pas à mentir pour lui rendre la pareille... Partie remise ?

Il regarde Nouanda avec un sourcil levé.

-"Lui enseigner la saillie? Heu le mieux c'est pas qu'elle choisisse son professeur? Puis ça peut être dangereu en plus faut une équipe de médecin, elle a pas l'air très solide, sans vouloir t’offenser hein Mercredi."

Il regarda ses mains, gantées de cuir noir, puis son assiette et le sourire revint.

Mercredi écoute et observe le bioroïde.... comprenant pas forcément bien son comportement.
T'es volontaire toi ?

- Quand t'aimes bien quelqu'un il devient de ta famille ? C'est...

Elle prends quelques secondes de réflexion.
C'est pas vraiment la famille...

Elle semble avoir un peu de mal à expliquer ça.
Toi par exemple je t'aime bien mais je t'appelle pas Tante Nouanda...

Et d'un coup on peux la deviner contente d'elle.
En fait Oncle Vel parce que je peux lui casser les pieds, il aime ça.

Regard en coin pour Vel, léger sourire de satisfaction et ses pieds se balançant sous sa chaise.
L'espace de quelques secondes elle semble être une fille normale de son âge.

Il manque de s'étouffer avec une pomme de terre suite à la question de Mercredi. Il réussi malgré tout à l'avaler et pris une grande inspiration, puis expira doucement.

-"Sans équipe médicale sur place c'est pas conseillé la Saillie avec moi. De plus comme ça m’étonnerais qu'il y ai une matrice artificielle dans le coin ça te rendrais inopérationnelle un bout de temps....

Pis t'es ptet un peu jeune pour ça...

Enfin tu fait ce que tu veux, j'suis pas la pour juger ce que tu fait avec ton corps...

Si vraiment ça t’intéresse, te faudrait un bon prof et en ce qui me concerne j'suis pas vraiment indiqué pour cette discipline.

Après si c'est pour t'apprendre à tuer ça je peux t'enseigner."

Un regard vers Nouanda, ses yeux semblaient dire : "Mais dans quoi tu m'embarque encore?"

Puis il se remis à manger tranquillement.

Intérêt dans ls yeux de la fillette.
Ah oui ? je veux bien apprendre à tuer aussi

Il observe Mercredi, de haut en bas.

-"Tuer n'est pas un acte anodin, le faire correctement demande quelques connaissances, généralement médicales.

Que tu cherche à le faire à ma manière, c'est à dire rapide et propre, ou que tu cherche le gore et le douloureux, ce sont les mêmes bases qu'il de faut.

Mais la question la plus importante est pourquoi mettre un terme la vie de quelqu’un?

C'est un geste lourd de conséquences, parfois au delà de ce qu'on imagine initialement.

Mais surtout, il faut que tu sache que celui qui sait apporter la mort doit aussi accepter celle-ci en retour.

Celui qui est prêt à tuer doit être prêt à mourir.

Donc si tu veux que je t'enseigne il faut d'abord que tu me dise si tu est prête à mourir."

Ses yeux verts se fixèrent dans ceux de la petite Gothique.

Mercredi lève un sourcil vers Nouanda.
Dis, il est toujours aussi compliqué ?

Mercredi pointe son regard vers le Serbe après Nouanda, sas oublier de lui refaire sa petite moue boudeuse.
Mais son visage retourne au neutre en l'écoutant.

- "Et toi mercredi... tu penses tuer pour quelles raisons ?"

Ça arrive souvent par accident... ou pour m'amuser.
Si j'apprends à le faire mieux, peut être que je pourrais éviter de tuer ceux qui jouent avec moi...
ou pas avant la fin de la partie au moins.

Il observa de nouveau Mercredi en enfournant une nouvelle fourchette dans sa bouche.

*A quelle directive ALSG se fier dans le cas de celle-la? la n°1 ou la n°3?... Bon ptet pas la n°1 en tout cas pas avant d'avoir confirmation, donc pour l'instant la 3*

Dubitatif, il observa le reste de l'attablée, avala ses pommes de terre et...Ne dis rien.

Cependant il fut tout de même atteint d'un tic des gens qui ne tiennent pas en place et commença à secouer la jambe, Vrai quoi! cinq minutes qu'il était assit, presque son record.

Mercredi quant à elle empala une grosse patate et la porta à la bouche, lui cachant la moitié du visage, elle se mit à la grignoter comme une souris.

L'agréable odeur qui émanait de la petite bâtisse n'attirait pas que les rats peuplant Olean Thorei à elle, et l'odorat de Hicks l'y conduisit tout aussi surement. Comme souvent, il zonait dans la petite cité à la recherche de tout et de rien, plongé dans ses pensées et ses souvenirs désordonnés, et c'est presque malgré lui, ou tout du moins sans s'en rendre compte qu'il finit par atterrir devant les portes de cette cabane. Il se demanda un instant ce qui l'avait conduit jusqu'ici avant de prendre conscience de cette odeur esquisse de plat cuisiné et du grondement qui émanait de son ventre.

Comme à son habitude, et l'idée que la petite réunion qui se déroulait à l'intérieur pouvait être privée ne lui traversant pas l'esprit, il ouvrit la porte sans hésitation, pénétrant à l'intérieur d'un pas engagé et sans l'hésitation poli qu'il convient d'adopter lorsque l'on fait irruption dans ce qui ressemblait à une "réunion de famille".

Ca sent drôlement bon dans l'coin!

Son regard gris et monotone parcouru tous les visages avant de s'arrêter net sur celui du bioroide. Pétrifié, immobilisé par la marée formée par ses souvenirs, ses yeux dévisagèrent l'homme, emplis de détermination et de rage alors que la crainte et l'hésitation marquait son visage.

Il se souvenait….il se souvenait de cet homme, sous la pluie, blessé, l'un de ses yeux arrachés dévoilant des microcircuits au fond de l'orbite. Ses propres membres endoloris se souvenaient de leurs souffrances à cet instant, brulant, marqué par un long affrontement, de ses doigts cassés, de ses membres tremblant sous l'adrénaline combiné à la peur de mourir.

Il s'était approché, l'homme parlait, lâchant des mots qu'il n'écoutait pas mais dont il n'ignorait pas le sens, par habitude. Tous à la fin, tous ceux à qui la conscience s'était offerte lui demandaient de les considérer comme humain. Et comme à chaque fois, il avait levé son arme et l'avait exécuté. Froidement, presque par libération, cet acte marquait la fin d'une traque éprouvante. Il s'était effondré, à bout de force, trempé et blessé jusqu'à l'âme se disant qu'il arrêterait dès qu'il aurait suffisamment de coté.

Il se rappelait maintenant. Il était un Blade Runner. Il traquait et exécutait les machines hors de contrôle. Il se souvenait que ce modèle était l'un des derniers de ce type. Ensuite, le modèle Nexus avait été mis en service. Moins performant, avec moins de ressources technologiques mais plus organique, plus empathique, …. plus humain... les traques suivantes lui revinrent en mémoire comme une giffle. Moins physique mais pas moins éprouvante pour autant.

Le regard affolé et perdu dans un autre espace, sa mâchoire essayait désespérément d'articuler son nom….son nom. Qui était-il? Il lui semblait que le simple fait de parvenir à le prononcer lui permettrait de reconstruire le puzzle de sa personnalité, de son identité perdue . Mais déjà, ses souvenirs lui échappaient, s'éloignaient de lui sans qu'il puisse les rattraper, malgré toute la concentration qu'il mettait dans cette bataille. Ses émotions lui déchiraient le ventre, ses membres tremblaient dans la lutte qu'il menait… veine……Son ame resta abandonnée, un champ de bataille désert ou ne subsiste que cadavre et fumée. Néanmoins il avait fait un prisonnier.

Agrippé à la poigné de la porte qui le soutenait presque entièrement, son nom lui échappait. Ses lèvres s'agitaient sans qu'aucun son n'en sorte dans un dernier sursaut, tentant de saisir l’insaisissable. Finalement, son regard se posa sur le bioroide et ses lèvres finirent par lâcher

Toi, je t'ai exécuté.

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hrp : j'ai vérifier, votre rp a commencé avant le départ de Hicks d'Olean donc je me permet de poster.

La porte s'ouvre... bruit de l'eau de la rive.
Milosevik lève la tête pour voir qui s'y trouve. Mince alors... le propriétaire de ce restaurant venu lui demander des comptes !?
Genre... que fais tu ici ? Quelqu'un t'a autorisé à utiliser la cuisine ? T'as demandé avant de toucher aux ustensiles ?
Nan mais merde... c'était vide de client, l'endroit non entretenu, poussiéreux à souhait !

Ca va ! Milo reconnait le type qui vient d'arriver. Il avait échangé quelques mots avec en haut d'une des tours du port.
Par contre il reste là, sans bouger, à fixer le Répliquant Haarbald.
Jess allait lui parler quand il entend cet étrange propos.

" Toi, je t'ai exécuté."

Le Serbe regarde tour à tour Haarbald, Vel, Nouanda et Mercredi.
De quoi il parlait ?

- Heu... de quoi il parle là ?

Alors qu'il observait d'un air amusé Mercredi, se disant que définitivement, le surnom de "la souris" lui allait bien, un homme fit éruption dans la pièce.

Comme un diable qui sort de sa boiîe, un squelette qui tombe du placard. Une douleur sourde s'empara du bioroïde. Le film de sa vie rembobina à toute allure, retrouvant cet instant T.

C’était pendant ce qui fut ensuite surnommé la révolte Pinochio par l'OTAN.

Suite à plusieurs demandes, Verso industrie avait créé un "suppresseur d'émotions" afin d'en équiper les bioroïdes de type militaire.

Mais Haarbald et son équipe, les Gray Knights, aidés d'autres équipes de bioroïdes principalement de type H et S ne l'entendaient pas de cette oreille; en secret, ils montèrent une black ops en vue de détruire ce suppresseur et son créateur.

La mission avait été un succès, jusqu’à l'arrivée de cet homme.

Verso ind. avait fait appel à lui suite de la destruction de leur projet et la mort de leur scientifique, déclarant les bioroïdes ayant participé à l'opération "Hors de contrôle"

Le blade runner s'était pointé au point d'extraction au dernier moment. Haarbald avait décidé de le stopper, seul, pour laisser le temps aux autres de fuir... Mauvais calcul, affronter seul un agent surentraîné et spécialiste de la chasse aux réplicants était aussi dangeureux que s'ouvrir les veines en pleine mer entouré de requins.

Cette nuit-là, il pleuvait à verse et le duel des deux hommes avait pris place sur les toits, un combat tactique, long, éprouvant qui s’était mal terminé pour Haarbald.

Il devait sa vie à une chance insolente cette nuit-là, ainsi qu'aux compétences de Morgane Sullivan.

Le blade runner avait levé son arme et tiré, touchant de plein fouet Haarbald qui, déséquilibré, tomba du toit, une chute vertigineuse dans laquelle le bioroïde traversa plusieurs toits en tôle et une verrière pour finir dans la piscine couverte en contre-bas.

La suite, c’était la branche secrète de L'OTAN qui s'en était chargé, le Soldat, à cet instant sous les ordres de l'IA First, qui avait malgré cet incident décidé de réintégrer les bioroïdes rebelles dans ses rangs.

Haarbald avait été récupéré par ceci, laissant sur place le cadavre d'un autre type H défiguré et mort récemment.

Le bioroïde s'était réveillé dans une cuve de récupération, il avait fallu toutes les compétences de Morgane, une batterie de nanomachines médicales et pas mal de temps pour que celui-ci fut à nouveau fonctionnel.

Jamais Haarbald n’était passé si près de la mort.

Instinctivement, le réplicant se leva, un bruit de cuir qui se déchire, sortant de ses gants de cuir, des griffes


Dans une espèce de grognement sourd, observant l'homme :

-"Tu es venu finir le travail, blade-runner?"

Il était prêt au combat si besoin, le visage impassible.

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Hrp: Pas de soucis Hicks, je me suis permis de mettre(d'improviser) un contexte pour que ça colle au BG de mon perso, j’espère que ça te vas.

La main de Hicks restait accrochée de toute ses force à la poignée de la porte, les phalanges blanchissantes, comme un capitaine s'agrippe au gouvernail en pleine tempête.

A entendre les griffes sortirent de leur carcan, il sursauta mais son professionnalisme, acquit après de longue année de métier, reprit le dessus. A la question d'Haarbaalt, il ne répondit pas tout de suite mais commença un long monologue, entamé sur un ton monocorde comme une longue litanie.

Répliquant de type H, classe militaire, modèle expérimentale obsolète, 4 séries ont existé, faute d'avoir les lettres de noblesse de ce que deviendront les répliquants, ils s'agit plutôt d'un clone humain amélioré génétiquement et cybernétiquement sur lequel les gênes émotifs ont été inhibés pour partie. Suite à ce modèle, sont apparu les modèles Nexus, entièrement synthorganique et disposant d'un cerveau positronique. Les modèles Nexus, à la différence du type H, sont pour l'essentiel des modèles civiles de compagnie ou de travail. Suite à la révolte Pinochio, la durée de vie des modèles a été bridée à 4 ans.

Hicks fronça les sourcils comme s'il était lui même surpris de ses propres paroles. Voyant le type H s'approcher, il porta la main à sa ceinture, position à laquelle était accroché son Holster dans l'ancien temps. Sa main se referma sur le vide et il y jeta un œil désespéré. Affronter un type H dans l'instant revenait à un suicide.

Reprenant un peu de calme, il releva la tête et sourit d'une manière désabusé.. Il venait enfin de comprendre ces paroles.

Finir le travail?..... Tu crois que les blade-Runner bossaient par plaisir. Y'a plus personne pour me verser une prime. J'ai donc rien contre toi.

Hicks était loin d'être convaincu que ce genre de parole désamorce la situation et son désarroi s'exprimait dans son regard. Forcant sa nature, il se fit le plus amicale possible.

J'suis plus Blade-Runner, je bosse pour Vel. Je crois que les choses ont bien changées depuis quelques temps.

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hrp : j'ai improvisé sur ce qu'est un type H. Dis moi si y'a des choses qui colle pas avec ton rp.

Obsolète.

Ce genre de mots fait toujours quelque-chose à votre égo, même quand vous êtes un bioroïde. Ce type avait même cité le fait qu'il y avait 4 séries différente de H, Haarbald était la première génération de la quatrième série, la pointe de la technologie à l'époque.

C’était avant l'arrivé des Nexus, parmi tout les avantages que ceux-ci avait sur les bioroïdes de modèle A à T, il y avait notamment que le Nexus lui n’était pas fabriqué à partir d'embryon humain... Ca et d'autres choses.

Les Nexus avaient soufferts de la révolte de leur ancêtres et n'avait qu'une durée de vie de quatre ans, par contre, ils étaient directement adultes et fonctionnels. Injustice complète, les bioroïdes eux avaient gardé leur espérance de vie humaine.

Haarbald c’était approché, déterminé pendant la première partie du discourt de l'ex-blade runner.

Cependant, la deuxième partie du discourt semblais être entendue par le bioroïde, il fixa dans les yeux l'homme face à lui.

L'intervention de Jess fini de le ramener à la réalité.

*soupir*

-"Effectivement, ce combat ne veut plus rien dire..."

Lentement, les griffes rentrèrent à leur place.

-"Excuse moi, c'est juste.... le fait de te revoir comme ça, sans être prévenu ça m'a ramené la bas... Donc tu bosse pour Vel, on est dans le même bateau alors, sans mauvais jeux de mots."

Il tendis sa main droite vers l'ex-blade runner.

-"Moi c'est Haarbald, on a pas vraiment eu le temps de se présenter à l'époque."
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Hrp: T'inquiete Hicks, c'est nikel, dans le pire des cas ce ne demandera que deux trois changements mineurs à mon bg pas encore mis sur la table, donc ça le fait!

Mercredi jeta un oeil vers la porte à l'arrivée de Hick,
continuant de manger sa patate tout à fait calmement,
même pendant la montée d'adrénaline entre le nouvel arrivant et Haarbald.

Fourchette devant la bouche, elle promenait son regard entre les différents convives à mesure des réactions.

Quand la tension redescend, elle tire une assiette de la pile qu'a apportée Nouanda plus tôt et la pose à la place libre à coté d'elle, pour Hicks, et repique une patate dans la sienne.

Hicks, toujours figé à la porte, remercia du regard Milosevitch de son intervention mais reporta rapidement toute son attention sur le bioroide. Les muscles bandés, prêt à toutes éventualités. Son esprit tournait à toutes vitesses, imaginant des éventualités, des solutions, les soupesant, les repoussant…Mais dans ses conditions, en combat singulier dans ce genre d'endroit, aucune ne lui permettait de battre son adversaire. La meilleure option restait de fuir en utilisant cette porte, qu'il avait bien l'intention de balancer dans la gueule du robot si celui-ci bondissait sur lui. Un angle de porte saillant, ca pouvait faire bien mal.

Le bioroide rengaina ses armes, et adopta tout comme lui, une attitude neutre, voire même trop amicale. Ca ne présageait rien de bon et Hicks le soupesait d'un regard suspicieux.

Le bioroide n'aurait aucun mal à lui broyer la main si l'envie lui prenait. Il se méfiait d'eux, et c'était ce qui lui avait sauvé la vie toutes ses années. Néanmoins, il ne pouvait pas planter Haarbald comme ca, ca serait vu comme un nouveau signe d'agression et il fallait à tout prix faire redescendre la tension.

Il sourit, un soupçon de cynisme pointait dans ce sourire, et se détendit. Il s'approcha d'Haarbalt et lui pressa l'épaule d'une main, en signe amicale, mais ne lui serra pas pour autant la main.

Tu peux m'appeler Hicks même si je ne sais pas si c'est bien mon nom. Peut-être m'as-tu connu en portant un autre?

Son regard se porta sur la place vide. Et d'une main, il invita Haarbalt a s'asseoir avec lui

L'ex blade-runner semblait encore méfiant, mais difficile de lui en vouloir, ça devait être l’instinct.
Haarbald s'assit, puis observa de nouveau Hicks.

Le connaitre avec un autre nom? Il avait visiblement quelques problèmes de mémoire.

-"Hum il me semble pas avoir connu ton nom, mais vu que t’étais efficace dans ce que tu faisais.... Un partie des bases de données à laquelle j'ai accès est encore lisible, avec de la chance, il y a peut-être quelque chose sur toi, comme ton nom. A toi de voir si tu veux essayer, parfois le passé est comme une boite de Pandore."