Une spécialité Serbe.

*Mercredi entre et se lance dans la fouille des placards... pas grand chose à par des rats...*
*Nouanda, l'appel du ventre... et l'envie de voir moins de monde, elle a suivi.* - Tu fais un truc sans viande ?
Jess : - Nouanda... tu m'aides ? J'ai des tas de patates dans le sac là... et vais faire une sauce avec ce que j'ai récuperé. *Il fait signe à la petite de prendre place et regarder... il lui tendra une bouteille d'alcool léger. *
Nouanda : - Bien sûr que je t'aide ! C'est que je commence à apprendre... *Patates prises dans le sac, couteau sorti de sa ceinture, la brune se met au boulot.*
*Mercredi, fouillant sous une table, à 4 pattes, la gosse offre une vue imprenable sur le seule linge blanc qu'elle porte sur elle. Elle se relève et se tourne vers Nouanda, tenant un rat par la queue* -Sans viande ? ça va pas être dur, y a rien d'autre ici...
*Vel, tout juste descendu de son mirador, Vel rejoignit le fameux 'restaurant' aux spécialités fruits de mer / mexicaines. On lui avait signalé une activité récente au "resto" où il y était "portier".*
*Nouanda, un œil posé sur le Serbe, sourcil haussé, des lustres qu'elle n'a pas mangé de viande... Coup de menton vers l'homme tenu en laisse.* - T'as un nouveau jouet ?
*Vel, entrant dans le restaurant* - Tiens ouais ! Y a d'gens ici !
*Mercredi monte s'asseoir sur le comptoir et prend la bouteille que lui tend Jess, elle en prend une grosse gorgée sans hésitations, et, vire au rouge, étouffant un toussotement dans sa main. Discret sourire vers Nouanda.* - Ouais. C'est tonton Vel qui me l'a offert. Il est chouette hein ?
Nouanda : - Ah, Jess... m'ont fait boire de leur truc hier... Rude. *Lueur d'amusement dans le regard. Elle interroge la môme. * - T'as le droit de lui faire c'que tu veux ? *Puis, polie quand même, salue Vel.*
*Mercredi fait un signe de tête affirmatif.* - Il est à moi, j'en fais ce que je veux.
Nouanda : - Et.... tu vas en faire quoi ?
Mercredi : - Salut tonton Vel. Ben je voulais le tuer mais il peut m'aider aux champs... donc je vais essayer de le garder en vie et de le dresser.
Nouanda : - Il obéit bien ?
Mercredi : - Ça va, il tire plus sur sa chaine depuis que je lui ai mis un coup de masse dans le ventre.
Jess : - Et Vel ! Tu viendras gouter à ce plat hein ? Dis... J'ai vu un bateau en rouille au Nord Ouest... on peut s'installer dedans ?
*Le sourire de Nouanda devient plus franc, pas amusée, presqu'envieuse en fait.... Longtemps qu'elle n'a pas joué.* - Faut pas le casser si tu veux qu'il te serve.
*Vel regarde bizarrement la gamine et l'esclave qu'il lui avait confié. Elle n’avait pas l'air très nette celle là : pas forcément une mauvaise chose dans ce monde. Ce genre de "personne" était facilement "manoeuvrable". Se tournant vers les 2 autres occupants* - Hey ! Jess !
Mercredi : - Ouais, mais s'il est pas sage j'aurais pas le choix... *Regard menaçant vers l'esclave*
Vel : - L'bateau en rouille à l'aut' bout du quai ? 'voir. J'crois qu'y 'partient aux Tortellini. R'marque ça fait 'moment qu'y ' l'squattent plus.
Jess : - Mince... il m'inspirait avec sa tour intégrée... parfait pour mes tirs de Mauser. *Le Serbe commence à préparer les patates dans la cuisine qui semble abandonnée.
Nouanda : - Si jamais, même si j'en doute, t'as besoin d'un coup de pouce, Mercredi, fais moi signe... *L'épluchage continue à un bon rythme... Elle se stoppe au bout d'un temps.* - Euh, j'en fais plus ou ça suffit ?
Mercredi : - Pourquoi pas... *Mercredi reprend une grosse gorgée d'alcool, il en reste déjà plus qu'un cul de bouteille. Elle tangue légèrement, assise, et son visage semble se débrider doucement.*
*Vel remarquant l'occupation du moment à la cuisine du "resto". Heureusement, ils avaient pas été fouiller le fond de cave.* - Si vous v'lez, y doit rester 'peu de chile pour 'picer un peu l'truc. J'vais vous chercher ça.
Jess : - Merci Vel. Non ça ira là Nouanda... *Il remarque que la petite est un peu comme lui... à se détendre sous alcool.*
*Vel , sitôt dit, le stratège prit la porte du fond, descendant à la cave mettre de l'ordre "au cas où"*
*Mercredi tire d'un coup sec sur sa chaine. pointant son index vers le bas, l'esclave la prend par la taille et la fait descendre du bar. Elle va vers la porte de la cave en zigzaguant.* - Ça va tonton ? tu trouves ce que tu veux ?
*Nouanda stoppe l'épluchage, donc, range sa lame après l'avoir essuyée et nettoie le tas d'épluchures* - Ensuite ? *Coup d'oeil à la gamine, c'est pratique un esclave... *
*Jess lui montre un exemple avec deux patates. - Faut les couper comme ça... *Il ira chercher un plat adéquat. *
*Nouanda, couteau sitôt ressorti, se remet à l'ouvrage.* - Comme ça, donc ? *Oui oui, elle fait "comme ça".* - Fais gaffe, Mercredi, faudrait pas qu'tu tombes...
*Mercredi, se retournant vers Nouanda.* - Hein ? AH ! *Elle bascule en arrière dans les escaliers, plusieurs gros bruits de chute, quelques secondes de silence et un éclat de rire.*
Nouanda : - Oh ! Bordel ! *Elle lâche son couteau sur la table et court vers l'escalier, en dévalant les marches... Le rire ne la rassure pas vraiment.... Pour peu que la môme soit maso... * - Euh... ça va ?
*Vel, après un grand "rangement" à la cave, Vel était en train de remonter quand "quelque chose" viens s'écraser dans ses jambes* - Puté mais... qu'est s'tu fous 'ci toi ?!
*Mercredi, dans les bras de Vel, évènement rare, la gosse sourit ! Elle rit d'un rire mi débile mi flippant, complètement bourrée, mais toujours en bonne santé visiblement*
Jess : - PAS DE CASSE EN BAS ? *Avait crié Milo vers la cave.*
Nouanda : - SEMBLE QUE NON ! *Répond Nouanda vers le Serbe, elle remonte, d'ailleurs, la môme semble entre de bonnes mains, elle profite de la relative intimité que l'absence des deux autres leur procure pour s'approcher de Milo.*
*Mercredi lance un regard vers Vel.* - T'as rien de cassé tonton ?
*Vel songe qu’elle a pas qu'une case en moins celle là: c'est une incapable qui sait même pas marcher droit.* - Puté, comm' si j'vais qu'ça à faire d'me coltiner les gosses. *L'aidant à se remettre droite.* - 'va comme ça ? T'arriv'ra à r'monter sans tomber c'te fois ?
*Mercredi elle remonte les escaliers doucement, se tenant à deux mains à la rambarde. Arrivée en haut, elle entreprend d'épousseter sa robe noire devenue grise par la poussière.* - Ça va, j'ai réussi.
*Jess se dit que la prochaine fois il coupera l'alcool avec une bonne dose de fruit.*
*Puis, Mercredi va vers l'esclave... et lui saute à pieds-joints sur les pieds.* - Incapable ! T'aurais pu me rattraper !
*Nouanda se dit que la vie en comm, c'est sympa, mais qu'elle veut trouver un moment tranquille, retourne à ses patates.* - Sacrées descentes, la petite... De la bouteille et de l'escalier.
Mercredi : - Oui... Elle est bizarre cette eau... *Elle se fait déposer sur la table de la cuisine et fixe Nouanda un moment.*
Nouanda : - C'est pas de l'eau... *Relève les yeux de ses pommes de terre, sentant le regarde de la môme, la fixe en retour, continuant le découpage, sans rien dire.*
*Mercredi, les yeux dans les yeux, d'un coup sans prévenir.* - Toi t'es amoureuse.
Nouanda : - Si tu le dis... *Mais qu'est ce qu'ils ont tous avec ce mot ?* - Tout dépend... ça veut dire quoi ?
Mercredi : - J'en sais rien. Ça m'est venu comme ça... *Elle a pas de souvenir de la vie d'avant mais certains trucs peuvent revenir comme ça sans prévenir.*
*Le Serbe écoute tout en continuant la préparation du plat... voyons voir ce genre de discussion quand on est ado...*
*Nouanda affiche une moue dépitée.* - Ce genre de trucs, c'est pas clair pour moi...
Mercredi : - Pareil... *Petit air gêné, la petite est partie dans une conversation qui la dépasse.* - Je préfère les morts, ils sont moins compliqués.
*Vel , remonté de la cave, le stratège s'était assis sur l'une des tables, observant la "discussion" sans dire mot.*
Nouanda : - Moui... Mais la simplicité n'est pas toujours le mieux...
*Jess lève un oeil sur Vel.* - Pas si certain petite... Perso j'ai des tas de problème avec les morts...
*Vel, s'adressant au Serbe, visiblement hors de la discussion entre les 2 ados.* - Tiens s'non, tu m'disais v'loir un 'droit pour t'entrainer au tir ?
Nouanda : - T'as pas tort, Jess... Il y en a une qui risque de m'attirer des emmerdes, d'ailleurs...
Jess : - J'ai dit ça ? *Dit il d'un air amusé.* - Je pense que c'était plus cette tour sur le bateau rouillé qui m'inspire. Pourquoi Vel... tu as quelque chose en tête ? *Puis plus bas à Nouanda.* - Va falloir qu'on en parle...
*Nouanda n'est plus vraiment une ado, d'ailleurs... sait même pas si elle l'a été un jour... Elle acquiesce aux propos de Jess, répond, sur le même ton.* - Va falloir, oui...
Mercredi : - Moi y en a un qui m'a rendue malade y a 2 lunes
Nouanda : - Un mort ? Faut prendre la viande fraiche... *Pose la main sur sa bouche, réflexe à la con, s'acharne sur une patate qu'elle découpe un peu trop.*
*Vel , suivant les propos échangés entre le Serbe et Nouanda, Vel devinait en partie le nom de celle sous-entendu dans leurs propos. Revenant au sujet précédent.* - Bah, s'tu cherches un 'droit élevé pour l'tir, j'te conseil l'mirador Nord. J'm'y entraine d'fois au tir 'vec mon colt. T'as une belle vue sur l'lac et c'qui traine au d'ssus.
*Mercredi acquiesce.*- Oui, je l'ai appris comme ça, je fais attention maintenant.
*Mercredi n'est même pas encore au stade d'ado, ou à peine, mais à part son corps et une relative naïveté, elle a pas grand chose en commun avec les enfants, ni même avec les humains en fait *
Jess : - Tu as un Colt ? Ca serait bien qu'on y aille tous deux Vel... je te ferai essayer mon Mauser à lunette. Tour Nord alors... ok
*Vel, présentant son Colt, toujours dans l'étui attaché à sa ceinture.* - Ouai. Un p'tit souv'nir du nord profond.
*La petite regarde les flingues avec les yeux brillants.* - J'peux les essayer moi aussi ?
*La brune rit doucement, la gamine lui a volé les mots de la bouche.* - Un coup à t'assommer avec le recul !
Mercredi : - ça peux pas être pire que la bouteille que je viens de boire.
Nouanda : - T'es pas assommée !
Mercredi : - Oui, tonton m'a ramassée heureusement.
Nouanda : - Dis... Pourquoi tu l'appelles Tonton ? Je croyais qu'il s'appelait Vel...
Mercredi : - Parce que je l'aime bien et qu'il me fait des cadeaux comme papy charogne. *Elle désigne la masse posée à coté de l'esclave.*
Nouanda :- Donc si on te fait des cadeaux, t'aimes bien les gens ? Fais gaffe... Certains font des cadeaux juste pour pouvoir te faire plus de mal.
*Milo regarde l'arme avec intérêt... il avait l'air de l'apprécier.* - On pourrait tous y aller à ce stand de tirs... j'ai l'impression que ça va plaire à ces deux jeunes fill... femmes
*La brune affiche un grand sourire, yeux pétillants en regardant le Serbe.* - Bonne idée !
Mercredi : - Non s’ils veulent un truc en échange c'est juste du business, j'en fais dans le désert et ça fait moins mal avec l'habitude...
Nouanda : - En effet... Et plus tard, t'y prendras p't'être même goût. *Elle sait de quoi elle parle...*
Mercredi : - Ah oui, tu aimes ça toi ?
*Nouanda s'approche de la môme, baisse d'un ton.* - C'est quoi que tu appelles le business exactement ?
Mercredi : - Le dernier par exemple voulait me fourrer l'arrière-train en échange de son lapin.
Nouanda : - Tu l'as eu, au moins, ton lapin ?
Mercredi : - Oui oui.
Nouanda : - Et pour ta question, la réponse est oui.
Mercredi : - Hmm... *l'air songeuse*
Nouanda : - Mais ça prend du temps..
Mercredi : - Hmm... je vois... *portant son regard sur la poitrine de la jeune femme* - Comme ça aussi, ça prend du temps...
Nouanda : - Voui... le plaisir vient en partie avec ce genre de choses, avant, c'est trop tôt... Pis aussi quand c'est nous qui le voulons, ça aide.
*Ouhla, Nouanda en professeur d'éducation sexuelle, ça craint ! *
Mercredi : - J'ai jamais pensé à essayer en le voulant...
Nouanda : - T'as encore le temps... Pour en avoir envie.
*Mercredi réfléchit un petit moment et jette un oeil rapide à son esclave, une idée semble lui avoir traversé l'esprit...* - Je sais pas, on me dis souvent que je finirais pas vieille, donc j'ai pas forcément beaucoup de temps.
Nouanda : - Ce que je veux dire, c'est que peut être que ton corps est pas encore prêt à te donner du plaisir, même si t'en as envie... Après, c'est toi qui sais, c'est ton corps...
Mercredi : - Moui...
Nouanda : - T'as pas l'air convaincue...
Mercredi : - Bah c'est mieux si on peut se faire plaisir en faisant du business non ?
Nouanda : - Si tu fais du business, oui... Mais tu crois que tu devras en faire encore ici ?
Mercredi : - Non. Ça surprend. On m'a juste demandé de faucher les blés pour vivre ici. En plus on m'a donné un esclave pour m'aider.
Nouanda : - Cela n'veut pas dire que t'es en totale sécurité ici, hein, méfie-toi... Mais ils ne te demanderont sans doute pas ça.
*Milo se met des fois la main devant le visage et secoue la tête suite à quelques propos.*
*Sourcil interrogatif levé vers le Serbe, Nouanda se demande si elle n'a pas dit de connerie plus grosse qu'Uggly ?*
Mercredi : - Volontaire pour me faire aimer ça ?
*Si Nouanda avait été en train de boire quelque chose, sans doute qu'elle l'aurait recraché aussi sec... Elle toussote, la brune, puis reporte son regard sur la môme.* - Faudrait que tu te trouves un partenaire à toi, pour ça... *C'est qu'elle a bien appris la leçon !*
*Mercredi affiche une petite moue mi boudeuse mi songeuse*
Nouanda : - Je pourrais t'expliquer certaines choses, si tu veux... *Nouanda n'est pas certaine que ça soit une bonne idée... mais se dit que ça ne peut qu'être mieux qu'elle apprécie ça, plutôt que subir...*
*Mercredi pose ses coudes sur la table et son menton dans les mains, prète à écouter*
Nouanda : - On va attendre que tu décuves, ce serait con que t'oublies. Pour l'heure, c'est prépa du repas !
*Mercredi dirige son regard vers Jess*
*Le temps passe, la cuisson de ce plat prend un peu de temps et quand c'est enfin prêt, le Serbe appelle les deux jeunes femmes... il contactera Vel pour les rejoindre.*
*L'estomac en souffrance, surtout avec l'odeur de cuisson, Nouanda se ramène vite fait, chopant des assiettes relativement propres au passage.*
*Mercredi se fait porter par son esclave jusqu'à destination*

La soirée passée, Mercredi retourne en titubant au cimetière avec son esclave.

*Me trouver un partenaire à moi...*
L'idée qui lui a traversé l'esprit plus tôt ne l'a pas quittée.
Elle s'est installé un camp sur une tombe à la pierre trop érodée pour pouvoir lire le nom de son occupant.
La petite s'installe mi allongée, adosée à la pierre.
L'esclave lui, habitué à son rôle, se couche à ses pieds.
Les bras croisés sur sa poitrine, ses pieds froids contre l'homme, elle baille et ferme les yeux.

Plus tard au coeur de la nuit, *bam* l'homme se fait réveiller par un grand coup de pieds.
il roule sur le dos. face à lui, la gosse se tient droite comme un I, la masse par dessus l'épaule.
Le regardant de haut de ses yeux noirs, il prend peur mais ne peux crier ou s'enfuir, pieds et poings liés, et un baillons sur la bouche dissimulé sous sa cagoule de cuir.

Elle lève la masse au dessus de sa tête et l'abat... à quelques cm de la tête de l'esclave.
Bouge pas...

Elle laisse son arme plantée dans le sol.
L'homme remuant tentant de crier s'arrête net, les yeux ronds comme des billes.
Devant lui, la fillette a relevée sa robe et descend sa culotte.
Elle lève ses jambes pour s'en libérer, la plie consciencieusement et la pose sur son lit de camp.
De retour devant sa victime, elle le regarde, figé de la tête aux pieds.
L'homme effrayé n'a pas pu retenir la réaction mécanique à l'idée de ce qu'il va lui arriver. Un grosse bosse se dessine déjà à son entrejambe.
Mercredi s'assied à califourchon à hauteur de ses genoux et lui baisse d'un coup franc la loque qui lui sert de pantalon.
Le membre virile se dresse droit au ciel juste devant elle.
C'est pas comme si elle en avait jamais vu avant, mais cette fois on lit de la curiosité dans son regard.
Elle avait jamais imaginé que ce truc pourrait lui donné du plaisir, elle vois pas trop comment, elle avait jamais détaillé l'organe avant.
Elle le touche du bout du doigt, ça plie et reviens en position de départ. Voilà qui l'amuse.
Elle recommence plusieurs fois et l'arrête finalement en le prenant à pleine main.
Chaud, raide mais la peau glisse dessus. Un mouvement vers le haut qui lui remonte les couilles.
Un autre vers le bas qui le décalotte et fait sentir dans sa main un frémissement de l'homme qui ne se débat plus depuis un moment.
Sa main imprime machinalement un mouvement de va et viens alors qu'elle se penche pour s'en approcher.
Collant son nez à quelques mm du membre, elle le renifle de haut en bas, et le goûte du bout de la langue comme un chaton.
*Ça a pas l'air trop crade...*

Surprise par une réaction de son propre corps, elle se fige un moment.
une douce chaleur remonte du bas de son ventre...
Elle passe une main sous sa robe et a un petit sursaut quand celle-ci atteint une partie pas plus sensible que les autres normalement.
Elle aime ça, elle passe plusieurs minutes à se malaxer, délaissant son bout de viande.
Soudain, éclair de génie devant sa main aux doigts luisants.
Elle remonte à genoux jusqu'a avoir son bassin au dessus de celui de sa victime.
Alors c'est comme ça que ça marche ..!

L'homme aux yeux écarquillés se fait tripoter la queue sous la robe de la gamine maladroite.
Mais elle se met d'un coup à pâlir alors qu'elle viens de descendre de quelques cm en écartant les jambes juste avant de se faire remonter par un coup de rein de l'esclave. (oui oui, elle peux être encore plus pâle que sa nature !)
Figée un instant calée d'une main sur la poitrine de l'homme, de l'autre elle sert son petit poing... et décoche une grosse droite au malheureux et de le serrer au cou de ses deux mains.
Putain mais ça fait mal ! Saloperie !

Elle l'étrangle jusqu'a lui faire perde conscience et se libère en grimaçant du pieux qui la transperce.
Le membre retombe ensanglanté en claquant sur le ventre du pauvre gars (mais qui affiche un sourire béat dans son inconscience).
Elle s'essuie comme elle peux et se dirige d'un pas rapide jusqu'au resto, espérant que Nouanda y soit encore.

la démarche mal aisée et la mine penaude de la gosse a sûrement dû interpellé la jeune femme.
Nouanda, je... Tu m'a dis que tu pourrais m'expliquer certains trucs...
Je crois que c'est le moment...

Petite voix et mine gênée, voilà qui ressemble guère à Mercredi...

Avant de s'asseoir.
Tu te souviens du lapin ? ben là j'ai voulu essayer par l'autre trou...
Ça avait l'air d'être une bonne idée, mais...

Elle remonte sa robe sans complexe, dévoilant quelques traces de sang qui a coulé le long de ses cuisses et baisse les yeux.

Bon à priori tout ça semble normal, La jeune femme n'st pas inquiète, voir légèrement moqueuse.
Elle rabaisse sa robe et reprend son air froid habituel.

Je me suis fait ça sur mon jouet...

Son jouet... C'est un esclave, pas un zombie... Donc actif...

- Quand je disais un partenaire à toi... C'est aussi un partenaire adapté à toi...

Elle s'assied face à la môme, lui pose la tasse devant le nez, enveloppant la sienne de ses mains, l'air un peu plus sombre.

- J'étais pas beaucoup plus vieille que toi quand "ils" ont commencé. Cela f'sait mal. Très. Mais j'aimais la douleur... Donc j'y ai pris goût comme ça. J'crois pas qu't'aimes avoir mal... Et maintenant que je connais l'acte autrement... Je sais que la douceur est bien plus agréable.

Une gorgée qui lui brûle le palais avant de reprendre.

- Il te faudrait quelqu'un qui aurait envie de TE faire du bien, quelqu'un que t'aimerais vraiment bien... J'ai appris il y a peu que c'est mieux d'avoir un seul partenaire et de s'y tenir. Donc te faudrait un partenaire qu'est pas déjà engagé.

Le regard est assez parlant pour lui faire comprendre que son homme à elle n'est pas envisageable.

- Comment tu t'y es prise ?
[i][b]

La petite songeuse répond à mesure que les questions tombent.

La douleur, je préfère la donner que la recevoir oui...

J'ai repensé à ce que tu m'a dit tout à l'heure.
J'ai voulu regarder son gourdin pour voir commet ça marchait et ça m'a chatouillé en bas du ventre...
C'était plutôt agréable d'y toucher et de mettre les doigts dedans.
Et je me suis dis que c'est peut être parce qu'ils passaient par l'autre trou que c'était pas agréable...
Alors j'ai essayé...

Un petit silence, les yeux dans ceux de Nouanda et elle reprend :
T'aime pas partager quand c'est doux ?
Si "lui" il fait pas mal je pourrais pas l'essayer ?

Sorti direct sans réfléchir, voyant les yeux brillants de Nouanda quand elle évoque Jess :
Il doit être drôlement doué dis donc.
C'est pour ça que tu le quitte pas. Tu a peur que les autres y prennent goût aussi ?

Sur ces mots, Jess arrive, elle aimerait bien qu’il donne son avis mais il ne semble pas avoir entendu… Et puis… veut-elle vraiment son avis ? Et si ça lui plairait à lui ? Yeux plissés, elle ne s’interroge qu’un instant, puis chasse cette idée qui la dérange et lui sourit. L’estomac fait des siennes à nouveau, à peine calmée par l’eau chaude aux herbes.
Nouanda soupire. L’introspection, ça n’est décidément pas son truc. Sans quitter la môme des yeux, elle boit une gorgée d’eau infusée avant de reprendre dès que le Serbe s’est éloigné.

- Il n’y a pas que le fait qu’on se fasse du bien… Cela va faire presque trente lunes qu’on marche ensemble, trente lunes qu’on se complète, qu’il m’apprend la vie, que je lui appartiens. Et depuis le premier jour il m’a expliqué que si je me donnais à lui, je ne devais pas me donner à un ou une autre… Et que lui c’était pareil.

Un sourire, léger, orne désormais ses lèvres au souvenir du quiproquo.

- Il n’a pas toujours été doux, tu sais, mais j’aimais ça aussi. C’est moi qui ai appris à l’être.

La détermination et l’insistance de la môme… Sa façon de s’habiller de noir, de rechercher la présence de son homme… Si elle se laissait aller, Nouanda verrait rouge. Elle se contient, elle a confiance en lui, elle sait qu’il ne sera pas parjure… Elle y croit, elle, elle ne doute pas. À tort ou à raison.

- P’t’être que c’est pour ça que je ne veux pas partager… Ou que j’ai peur que lui prenne goût à une autre…

Elle embarque sa tasse et le rejoint à l’intérieur, il a déjà installé les assiettes qu’elle a chopées auparavant. Quatre donc, puisque Vel doit arriver.

- Il reste quelque chose à faire ?

Sourire un peu contrit, désolée de l’avoir laissé finir seul.

Clin d'oeil à Nouanda.
La petite est plus intelligente qu'elle le laisse penser et elle a bien compris la nature du lien qui lie les deux,
et qu'il serait pas bon pour sa santé de s'en mêler, à supposer que le Serbe veuille d'une gosse.
Mais elle a aimé titiller Nouanda, personne intéressante, et se sentir comme une menace potentielle a regonflé un peu son ego.

Ell suis Nouanda avec sa tasse de thé à quelques pas derrière elle.

Haarbald entra dans l’établissement. L'odeur de la nourriture? Il cherche Nouanda? Allez savoir, mais effectivement c’était l'heure du repas et tel le chat moyen il cherchait sa gamelle ou du moins de quoi faire cuire les deux serpents qu'il venais de chasser.

Aussitôt entré, il renifla tel l'animal moyen et lorsque que son regard se porta sur Jess et Nouanda son sourire s’élargit.

D'un signe de main il salua l'assemblée et se dirigea vers ses camarades puis s'adressant au Serbe et à l'asiatique.

-"Salut! je vois que je suis pas la seul à avoir un creux, content de vous trouver la..."

Son regard se posa sur la petite gothique.

-"Hey salut la souris."

Il marqua un temps d'arret devant elle.

-"T'as l'odeur du sang sur toi...."

Puis se tournant vers Jess et lui montrant les deux serpents encore en vie.

-"Tu crois que je peut utiliser la cuisine?"

Assis dans un coin, le stratège finissait l'écriture de l'ordre du jour de la prochaine réunion des officiers, quand il reçu l'appel du Serbe.
Se réunir uniquement pour manger: aucun réel but précis, aucun sujet de discussion décisionnel de prévu; rien de particulier si ce n'est "s'assoir autour d'une même table pour discuter de tout et rien". Voilà donc bien une idée stupide d'un temps révolu, pour celui habitué à toujours manger réclus dans son mirador.

Enfin, pour le coup, l'habituel désagréable officier ferait l'effort. Bien qu'il ne le côtoyait que depuis "quelques" jour, il avait un vrai respect pour le Serbe et ses gars, leur passif récent étant proche du leur en de nombreux points, il ne pouvait que mieux les comprendre.

OK ! Bouge' pas j'arrive.


...

Arrivant dans la salle.

Tiens,'dernier 'rrivé à c'que j'vois. Même un invité d'plus ? son regard se portant sur Haarbald, non présent aux précédents événements.

- "Voiiiila, c'est prêt."

Mercredi se prend à imaginer le Serbe en tablier blanc avec des moufles à carreaux pour tenir le plat.
Cette image lui tire un sourire et fait étouffer un ricanement.

Elle se reprend pour lui répondre, mais ses lèvres tremblotes, l'envie de rire est très forte.
Moi c'est Mercredi... tout court. Milo... J'aime bien.

Elle a un léger sursaut quand Haarbald les salues, elle l'avais pas entendu entrer, étonnant, elle a pourtant l'ouïe assez fine.
-"Hey salut la souris."
-"T'as l'odeur du sang sur toi...."

sa remarque efface de son visage les émotions qui s'y dessinaient très subtilement.
Fronçant les sourcils, elle a eu envie de se retourner pour cherche la souris derrière elle avant de comprendre que c'est elle qu'il désignait ainsi.
Le sang ? oui... il m'est arrivé un léger incident. Mais normal.

Elle jette un coup d'oeil rapide sur Vel pour le saluer quand il arrive derrière Haarbald.

Il fourra les serpents dans le pot en bois désigné par Milo.

-"Yup Vrais que nous sommes en communauté, mais j'aime bien chasser... En tout cas ce gratin sent bon, content d'en avoir une part."

Il fit un signe de tête à Mercredi afin de lui montrer que même s'il ne répondait pas (de suite), il avait entendu ce qu'elle venait de lui dire.

Tout en tirant une chaise afin de s'installer à coté de Nouanda, il se tourna alors vers Vel, lui tendant une main.

-"Salut! Moi c'est Haarbald."